Depuis quelques années, il est fréquent de voir des personnes se déplacer en fauteuil roulant. Cela peut s’expliquer par l’accessibilité de cet appareil qui est devenu plus facile. Les raisons de son utilisation peuvent être un accident, la vieillesse, mais souvent une maladie.
Les pathologies qui nécessitent l’utilisation d’un fauteuil roulant
Même avec l’avancée de la technologie sur le plan médical, beaucoup de pathologies graves restent encore incurables. Bien que les recherches soient de plus en plus poussées, l’utilisation de fauteuils roulants au quotidien reste indispensable pour la plupart des patients.
Les maladies qui touchent le système nerveux ou neurodégénératives, ou encore celles qui affectent les os et les os de verre se caractérisant par des anomalies de l’ostéogenèse, sont jusqu’à aujourd’hui incurables. D’origine génétique, la plupart de ces pathologies sont identifiées dès la naissance. Les fauteuils roulants font ainsi partie intégrante de la vie d’une personne atteinte de ces maladies.
Avoir les os de verre entraîne, par exemple, une fragilité élevée du squelette osseux tout entier du malade. Il y a aussi l’anomalie de la partie cérébrale qui induit la personne à une incapacité à se mouvoir, à des problèmes au niveau de ses facultés motrices.
La Spina Bifida conduit aussi la personne atteinte à l’utilisation obligatoire et permanente d’un fauteuil roulant. À noter que c’est une pathologie caractérisée par une anomalie congénitale due à la mauvaise fermeture du canal osseux se situant sur la moelle épinière.
Enfin, le dernier cas est la vieillesse. Cette dernière peut mener les personnes âgées à un handicap, car leurs jambes montrent de plus en plus de signes de faiblesse. C’est bien pour cela que la majorité des seniors utilisent des fauteuils roulants adaptés pour tous leurs déplacements.
Le fauteuil roulant électrique : le fauteuil idéal pour plus de liberté
Contrairement à un fauteuil roulant manuel, l’électrique est muni d’un moteur alimenté par batterie. Ce fauteuil roulant joue un rôle important pour son utilisateur, car il lui permet d’être autonome et indépendant. Côté stockage, le fauteuil roulant électrique se décline toujours en version pliable pour faciliter son transport et son rangement, que ce soit pour les déplacements en voiture ou en avion.
De plus, le fauteuil roulant électrique est facile à utiliser, léger avec une bonne autonomie allant jusqu’à 4 kilomètres pour certaines marques. Sur https://www.acekare.com/, vous pouvez obtenir plus d’informations concernant les fauteuils roulants électriques et leur utilisation.
Les détails à discerner pour un bon fauteuil roulant
Afin d’offrir un fauteuil roulant confortable et facile d’utilisation à un patient atteint d’une pathologie déjà assez encombrante, voici quelques détails à considérer avant de passer à l’achat :
. Le cadre du fauteuil : vérifiez si le cadre est en aluminium. S’il est en acier, le fauteuil va être trop lourd pour son utilisateur et plus difficile à manier.
. Les roulements et roues : bien vérifier la qualité des roulements et le choix des roues, que ce soit à l’avant ou à l’arrière du fauteuil. Le caoutchouc qui compose les roues doit être en gomme dure.
. Le dossier : vérifier l’inclinaison du dossier. Pour un patient atteint d’une pathologie, il est préférable d’avoir un fauteuil roulant inclinable et ajustable.
. La hauteur : si vous avez ou êtes un patient assez grand, alors optez pour les fauteuils roulants ajustables en hauteur pour un meilleur confort.
. Pour les poignées arrière, si l’utilisateur est souvent poussé, il est préférable d’opter pour des poignées réglables. Cela offre une facilité et un confort pour la personne qui pousse.
. Côté mesure : vous avez la largeur d’assise. Plus elle est étroite, plus le fauteuil est maniable et peut franchir plus d’obstacles. Vous avez aussi la longueur et la hauteur d’assise. Ces critères dépendent notamment de la morphologie de son utilisateur, alors prenez bien le temps de choisir.
. L’inclinaison de l’assise : ne pas oublier de vérifier l’inclinaison de l’assise. Une légère pente combinée à une hauteur assez haute de l’assise assure au bassin une bonne place au fond de l’assise. Ainsi, le patient obtient une position du dos bien droite. Cela réduit tout problème de dos à son utilisateur.
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